Altérations moléculaires : anomalies survenues au nv de l’adn constituant les gènes de la cellule. La transformation de la cellule normale en cancéreuse peut venir de plusieurs anomalies moléculaires de l’adn
Apoptose : L'apoptose correspond à un suicide cellulaire, ou mort cellulaire programmée
Bénigne : qualifie une maladie qui évolue de façon simple et sans conséquence grave vers la guérison.
​
Cellule germinale: cellule à l’origine des gamètes (spermatozoïdes et ovules).
​
Cellules NK : cellules de l’immunité innée qui font partie de la première ligne de défense de l’organisme. Elles tuent sélectivement les cellules tumorales ou infectées par des microbes tout en sécrétant des cytokines, qui stimulent et orientent la réponse des lymphocytes B et T.
Cellules souches : cellule indifférenciée capable de générer des cellules spécialisées par différenciation cellulaire. Elles se maintiennent dans l’organisme par prolifération ou division asymétrique.
Cellules stromales : variétés de cellules possédant les capacités des cellules-souches, appartenant en grand nombre au tissu graisseux.
Chimiokines: groupe de petites protéines appartenant à la famille des cytokines (signalisation cellulaire). elles contrôlent le motif de migration et le positionnement des cellules immunitaires, et ont une fonction importante d’attraction (appelé chimiotactisme).
​
Chronique : dite d'une maladie qui dure longtemps et se développe lentement.
​
Cytokines: famille de molécules polypeptidiques (protéines et glycoprotéines), solubles, de signalisation cellulaire. Elles sont principalement synthétisées par les cellules du système immunitaire et ont un rôle de communication. Elles agissent sur des récepteurs spécifiques. Leur mode d’action peut être paracrine (agit sur des cellules proches), autocrine (agit sur la cellule même qui l’a sécrétée), endocrine (agit sur des cellules ou tissus plus distants) ou juxtacrine (agit sur des cellules en contact).
​
Desquamation : élimination des couches superficielles de l’épiderme sous formes de petites lamelles appelées squames.
Facteurs de croissance : substances régulatrices qui favorisent la multiplication des cellules d’un organisme lorsqu’elles sont présentées en petite quantité. Elles sont indispensables à la croissance, la prolifération et la différenciation cellulaire.
Facteurs inhibiteurs : corps qui arrête ou réduit la vitesse d'une réaction, le développement et la multiplication de certains organismes.
​
Gènes anti-apoptioques : qui empêchent le déclenchement de l’apoptose.
​
Gènes pro-apoptiques : qui déclenchent l’apoptose.
​
Glycogène : glucide utilisé par les animaux pour stocker de l'énergie chimique et permet de libérer rapidement du glucose au même titre que l'amidon chez les végétaux.
Inflammatoire : dite d'un maladie qui désigne la présence d'une inflammation pouvant toucher la plupart des organes et tissus du corps humain.
​
Intégrines : voir page moléculaire
​
Interleukines (IL): groupe de molécules (protéines) appartenant au groupe des cytokines, qui sont un moyen de communication, un messager entre les cellules du système immunitaire principalement. Il en existe différentes, qui ont chacune un rôle particulier.
​
Jonctions étanches : L'étanchéité de l'épithélium est assurée par les jonctions étanches. Elles constituent un rapprochement étroit et localisé des membranes de deux cellules voisines qui limite considérablement le passage des solutés par l'espace intercellulaire. La jonction n'est pas entièrement étanche : selon la nature du tissu, certains solutés peuvent ou non la franchir. La jonction est due à des interactions qui concernent plusieurs molécules d'adhérence. La première est l'occludine. (latin occludere = enfermer), protéine transmembranaire, constituée d'une chaîne polypeptidique. La deuxième est la claudine (latin claudere = fermer), protéine transmembranaire, constituée également d'une chaîne polypeptidique. La troisième protéine est JAM (junctional adhesion molecule).
​
​
Laminine : les laminines sont des protéines forment un réseau qui constitue la membrane basale afin de réaliser un maintien structural et fonctionnel des tissus.
​
​
​
​
​
Liquide péritonéal : liquide renfermé dans la cavité péritonéal produit par les cellules du péritoine. Se comporte comme un lubrifiant afin que les organes puissent bouger sans frictions.
Lymphocytes: cellule du système immunitaire (petites cellules rondes d’environ 7µm de diamètre), appartenant au groupe des leucocytes (=globules blancs) présents dans le sang et les vaisseaux lymphatiques. Elles sont produites dans la moëlle osseuse.
​
Lymphocyte t : cellules spécialisée, peuvent détruire directement les particules étrangères et sont produites dans le thymus.Il existe des lymphocytes T dits à mémoire. Ces derniers gardent le souvenir d'un agent pathogène. Si cet agent infecte une nouvelle fois l'organisme, la réponse engendrée sera beaucoup plus rapide.
Lymphocyte tCD4 : ce sont un type original différencié des autres lymphocytes T, non cytotoxique, agissant seulement comme des intermédiaires de la réponse immunitaire
Macrophage: cellule du système immunitaire, provenant de la transformation d’un monocyte (globule blanc). Les macrophages se trouvent dans les zones d’inflammation, ils ont pour rôle de réaliser la phagocytose (ingestion de bactéries, débris cellulaires, levures..); d’activer la sécrétion de cytokine (permettant l’arrivée sur le site de l’inflammation d’autres cellules portant les récepteurs à ces cytokines).
​
Matrice extracellulaire du mésothélium : membrane qui recouvre et protège la plupart des organes internes.
Métalloprotéases (ou métalloprotéinases): enzyme protéolytique caractérisée par la présence d’un ion Zn2+ lié à trois résidus d’histidine (acide aminé). Elles ont pour rôle de modifier la matrice extracellulaire. Il est existe des différentes (codées par des gènes différents) qui détruisent des protéines particulières de la matrice extracellulaire.
​
Métaplasie : transformation d’un tissu différencié en un autre, anormal par sa localisation.
Microvillosités : fins prolongements cellulaires de forme cylindrique d'environ 1 à 2 micromètres de longueur et présentes sur des cellules épithéliales. Elles se situent sur l’extrémité cellulaire vers le milieu extérieur et servent à absorber des substances
Mitose : mécanisme de division d'une cellule mère en deux cellules filles strictement identiques génétiquement.
​
​
Œstrogènes: hormone sexuelles stéroïdes, synthétisées dans les ovaires, le placenta, le cortex surrénal et les testicules à partir de cholestérol. Il s’agit donc de lipides dérivés du cholestérol. L’oestrogène le plus courant in vivo est l’oestradiol dont la structure est la suivante:
​
​
​
​
​
​
​
Phagocytose : mécanisme permettant aux cellules de digérer des particules et des micro-organismes.
​
Perturbateurs endocriniens : Les perturbateurs endocriniens (PE) sont des substances chimiques d'origine naturelle ou artificielle étrangères à l'organisme. Elles peuvent interférer avec le fonctionnement du système endocrinien et induire des effets néfastes sur l'organisme d'un individu ou sur ses descendants
Pinopodes : Les pinopodes sont de petites protrusions utérines qui se développent sur l'endomètre au moment de l'implantation (5 à 7 jour après la fécondation). Leur développement est intensifié par la progestérone et bloqué par les œstrogènes. Leurs durée de vie n’est que de 2 à 3 jours.
​
Progestérone: hormone sexuelle stéroïdienne, synthétisée dans les ovaires par le corps jaune, et par le placenta à partir de prégnénolone, elle même dérivée du cholestérol (il s’agit donc de lipides également). Sa structure est la suivante:
​
Protéines d’adhésion : protéines qui interviennent dans les mécanismes de liaisons cellulaires.
Prostaglandine: acide gras insaturé (appartient à la grande famille des lipides) dérivé de l’acide arachidonique (20 atomes de carbone). Appartient à la famille des cytokines, molécule de signalisation cellulaire contribuant notamment au développement de plusieurs manifestations inflammatoires, la vasodilatation et la douleur.
​
Réaction inflammatoire : réaction du système immunitaire stéréotypée du corps à une agression externe comme une infection ou une brûlure ou interne comme les cellules cancéreuses. L'inflammation est un processus universel, concernant l'ensemble des tissus ; elle fait intervenir l'immunité innée ainsi que l'immunité adaptative. (mettre photo)
​
Stéroïde : importante catégorie de lipides, présents dans le règne animal et végétal comme le cholestérol, les hormonessexuelles : œstrogène et progestérone
Système immunitaire : correspond à l'ensemble des mécanismes de défenses de l'organisme. Il en existe deux types : innée et acquise. On appelle réponse immunitaire le déclenchement du système immunitaire face à une maladie.
​
​
​
​
Tissu adipeux : autrement appelée graisse corporelle, c’est un tissu conjonctif contenant des cellules graisseuses.
Trophoblaste : Le trophoblaste correspond à la couche cellulaire continue formée de fibroblastes qui limite l'œuf, devenu blastocyste au 6ème jour après la fécondation. Il fournit des nutriments à l'embryon.
Vasoconstrictions : diminution du diamètre des vaisseaux sanguins.
​
Voies de signalisation : séquence d’étapes impliquant plusieurs molécules dans une cellule ou à sa surface (récepteurs) qui fonctionnent ensemble pour contrôler les fonctions cellulaires. Elles sont directement liées à la réponse cellulaire)
​
​
​
​